Histoire : Survivants

Chapitre 1 : Mise au point

2037, Genève, 5.00
Un nouveau jour se lève. Comme tous les matins, on entend des tirs, des explosions et des cris de douleurs ou de tristesse. Les survivants comptent les cadavres des gens décédés de faim, de froid ou de diverses maladies pendant la nuit.
De l’autre coté de ce lac appelé Léman, devenu rouge sang, on entend des appels à la prière, des Muezzins. Il serait temps d’attaquer, pour les prendre de surprise, mais que pouvons nous faire, nous les 2'000 survivants, la milice, armés avec de l’artisanal ou les seuls armes de guerre encore en service, contre ces 40'000 musulmans et chars d’assaut, qui nous pilonnent jours et nuits avec leurs mortiers.

Le monde ?

L’Amérique et plus précisément les Etats-Unis ont été balayés de l’intérieur, ils n’ont rien pu faire contre les soldats qui se rebellaient, tout ces musulmans, dans les villes, les campagnes.

L’Afrique, s’est consumée, d’ailleurs, c’est de la qu’est parti le conflit. L’Europe en a eu marre de ce racisme contre les chrétiens et a pris quelques mesures, que l’Afrique du nord en particulier n’a pas appréciée.

Les Asiatiques, trop séparés. Les seuls ayant résistés plus de 10 ans sont les chinois. Les autres, pas d’armée ou trop peu.

L’Europe, elle, tient encore dans les grandes villes et les capitales. La Russie est prise au dépourvu, trop grand pays. La France est tombée en 2 ans. L’Allemagne, le Royaume-Unis et la Pologne, ont été moins touchée au début, mais à l’heure qu’il est, ils vont s’écrouler.

En Suisse, les seules villes encore résistantes sont Zürich, Berne, Lugano, Bâle et Genève.

De tous ces endroits, nous sommes le plus proche de la mort.

Nous n’avons plus rien à manger, nous nous nourrissons de plantes et des rares animaux restants.

La ville se noie dans le sang et dans les montagnes de cadavres.
Il y a des rats partout, certains les mangent, d’autres pas.
Nous nous refugions dans la vieille ville, dans les maisons en ruines et sous les différents ponts.

Je dirige la résistance, la milice, les survivants.
Je suis un homme de 27 ans, je m’appelle Frank Hoffman.
Ma compagne, elle, a 24 ans et s’appelle Julie Escoudini, elle est italienne, enfin je crois.

Voila, je suis en train d'écrire une petite histoire, dites-moi ce que vous en pensez.
Bonne lecture
Cordialement
Poli'

En un mot: énorme.
Vraiment c'est la mode les histoires ces temps.

très bon chap, j'aime bcp, mai j'espère k'on ne se croisera pas trop entre nos 2 histoires


un +

Merci beaucoup!
ça me motive pour continuer, j'espère que j'aurais le temps de vous faire un chapitre pour demain.
Cordialement
Poli'

Ouais, vraiment bien. Ca donne envie de voir la suite ! Vite ! =) Un +

Chapitre 2 : Razzia risquée

6.30
Je mets au point un plan suicidaire pour aller voler des vivres et des armes. Les femmes sont contre, la plupart des hommes aussi. Mon meilleur ami, lui, est toujours prêt à aller taper du glandu (surnom que nous avons donné aux musulmans). Il s’appelle Bob Santiago, a 29 ans et servait dans l’équipe d’élite du groupe
d’intervention suisse. Il est fou, suicidaire, mais il est une des rares personnes en qui je peux vraiment avoir confiance et qui mourrait pour moi, alors que je ferais pareil.

Le plan est simple : Passer par les égouts, placer des explosifs artisanaux, prendre ce qu’il faut et tout faire exploser. Ils seront bien trop occupés à crier dans tous les sens et sauter pour se cacher. Ils ne verront pas tout de suite qu’il leur manque de la nourriture et quelques fusils d’assaut.

« Qui me suis ? », dis-je à haute voix. Les eternels réponses fusèrent. Je ne réponds même plus aux « On va tous mourir » et « C’est du suicide ».
Les gros bras du groupe, Bob et quelques gars, étaient toujours content d’aller se défouler un peu. On chargea les explosifs et fusils dans les sacs à dos, descendîmes dans égouts. Après 200 mètres à ramper dans cette eau immonde. Nous vîmes une sentinelle, armée uniquement d’un Glock 17.
Bob cria, « Coucou chéri ». La sentinelle, prise de panique, sortit un petit : « Qui est… ».
Il n’eut pas le temps de finir sa phrase, que Brayin, un serbe particulièrement massif et hargneux contre les « Glandus », lui mitrailla la poitrine. Le garde tomba raide mort.

Nous continuâmes notre chemin, je m’arrêtai et chuchotai : « Stop, c’est là. Posez les explosifs en douceur et silencieusement ». Moi, je préparai cette razzia, ce pillage.
« On monte », dis-je. Bob répondu : « On fait ça vite fait bien fait, les gars. Essayez de ne pas vous faire repérer, sinon on va avoir du mal à repartir entiers. »

Nous montâmes par une petite trappe. Par chance, il n’y avait personne. Bob, Brayin et deux autres types restèrent sur place. Moi et 4 autres gars partîmes chercher les objectifs. Quelques maisons plus tard, il y avait deux gardes, on les contourna. Là, il y avait un arsenal, on prit tout ce que nous pouvions. « Tetris (c’était le gamer du groupe, celui qui savait tous sur l’informatique et les jeux vidéos) et moi on va chercher la bouffe, les autres vous retournez à la bouche d’égouts.

Nous avançâmes quelque centaines de mètres, quand on tomba sur ce qui ressemblait à un grand frigo. Tetris l’ouvra, il y avait un peu de viandes et du poisson. « On prend tout ce qu’on peut, grouille » braillai-je.
On courra jusqu’aux égouts, quand d’un coup, un musulman cria quelque chose en arabe. Je gueulai : « Et merde, on se barre !!! »

Tetris dit quelque chose dans le talky-walky, je n’entendais rien à cause des tirs et des cris.

Nous courions, quand nous vîmes la bouche d’égout. Nous nous précipitâmes dedans…

Vraiment très bien.
Continue!

Merci beaucoup
Cordialement
Poli'

vraiment sympa ton histoire surtout l'embiance apokalyptique ^^ mais il faudrait un personage avec un vrai nom suisse,.

Salut,
Moui, j'ai jamais eu d'imagination pour les noms, mais faudrait que je m'y mette
Merci, pour cette motivation.
Cordialement
Poli'

hey très bon chap ! ''Nous continuèrent notre chemin'' LOl petite faute de conj mai c marran^^

Hop, hop, hop, c'est corrigé.
Merci.
Si vous voyez des fautes, n'hesitez pas à m'en faire part.
Cordialement
Poli'

Bravo, j'adore l'esprit "de toute façon on a rien a perdre alors autant se battre" :-)))

Chapitre 3 : Le général Hadyen

7.50
« On met les voiles ! » Criai-je. On courra 100m, avant qu’Alexandre Perret, un valaisan un peu bourru qui aimait les explosions, dit : « 3, 2, 1, boum ! ». Le plafond des égouts où se trouvait l’entrée, parti en éclat, nous reprîmes notre course effrénée. Cette fois, ce n’étaient plus des cris de colère, mais bien des cris de panique.

Nous finîmes par arriver dans notre camp, on déboucha en vitesse parmi les acclamations de certains et les « On va tous mourir » des autres.

Bob éclata de rire en marmonnant : « On les as bien eu ces têtes de gland, faut qu’on se remette ça un de ces quatre. » Tetris, lui, m’avait impressionné, il n’était jamais venu avec nous, n’avait jamais connu une situation aussi périlleuse, il avait gardé son sang-froid et n’avait pas agis avec précipitation, mais avec réflexion.

Toute l’opération de déchristianisation était commandée par le général Hadyen, un salop qui avait poussé le roi des états d’Arabie unis à se suicider en montant ses amis contre lui. Ses deux seuls amis vraiment fidèles, étaient le général Antorès et un conseiller appelé Dézon. Mais, ils ont été exécutés pour trahison envers « Hadyen l’impitoyable », car un petit conseiller minable, Dovic, les avait dénoncés.

Je voulais à tout prix le tuer, comme tous les survivants. Il avait détruit le monde. Il méritait de mourir 100 fois pour tous les crimes qu’il avait commis. D’ailleurs, avec Bob et Alexandre, notre passe-temps favoris était d’imaginer comment nous le torturions si jamais nous l’attrapions.

Après un repas de midi un peu moins maigre, nous comptions les armes. Le problème, c’est qu’il nous fallait des munitions supplémentaires. Mais avant une semaine, il ne fallait surtout pas essayer de les piller à nouveau.

Cette après-midi, c’était ennuie, ennuie et ennuie. Mais vers 19.30, nous entendirent des ordres en arabe, des lumières, des pas et des cris de fureur. Ils arrivent. « Tous à vos postes, les femmes et les enfants à l’abris » ordonnai-je. Je me saisi d’un fusil Sig-445 et préparai la défense en vitesse. Des coups de feu, des explosions, partout, nous ne pouvions pas nous cacher, il nous fallait nous défendre.

C'est bien!
Continue comme ça.

Pas mal, vivement la suite !

''mouais'' comme naked le dirai xD

J'aime trop ce chap !!!

un +.

Juste je me reconnai pas l'histoire ?? j'y suis ou pa ? LOL

Super, mais le general Hayden est un vrai XD

Ne t'inquiète pas Medal, chaque chose en son temps, tu y arrivera, mais vous ne serez jamais des personnages principales, juste des référence.
Sinon merci beaucoup de tout ces commentaires sympa.
Cordialement
Poli'

Tu veux pas faire le sauveur de l'Humanité BALTHPOLIMEDALMOLOFREE ???=))))))

Hein? Désolé, mais j'ai pas compris ce que tu voulais dire, tu peut répéter plus clairement s'teu plait.
Cordialement
Poli'

Que le nom du grand sauveur soit un mélange de nos pseudos BALTH (moi) POLI (toi) MEDAL (Medal King) MOLOT (Molotov Bravorski) FREE (The Freeman) ca fait BALTHPOLIMEDALMOLOTFREE ! C'était un gag! T'as compris?

Ah okay, d'solé j'était fatigué ^^
Cordialement
Poli'

Je comprend c'était pas facile a comprendre...^^ Et moi j'y suis quand?